Les animaux d’assistance sont plus que de simples animaux de compagnie. Pour cette raison, les hôtes sont en général tenus de les accepter dans leur logement. Voici les réponses aux questions les plus fréquentes au sujet des animaux d’assistance.
Les animaux d’assistance peuvent être :
Contrairement aux animaux de soutien émotionnel, les animaux d’assistance sont dressés pour accomplir des tâches précises.
Non. Au Canada, les lieux publics et les fournisseurs de services doivent permettre aux personnes handicapées d’être accompagnées de leur animal d’assistance. C’est la loi. Les hôtes Sinistar doivent donc accepter ces animaux dans leur logement.
Cela dit, la loi prévoit des exceptions pour des raisons de santé et de sécurité. Par exemple, un hôte peut demander à un sinistré de se séparer de son animal d’assistance si :
Dans ce cas, le sinistré doit tout de même pouvoir séjourner dans le logement sans son animal d’assistance.
Dans la plupart des provinces et territoires canadiens, il n’existe pas de certification pour les animaux d’assistance. C’est seulement le cas en Colombie-Britannique, en Alberta et en Nouvelle-Écosse.
Toutefois, un hôte peut exiger une preuve qu’un animal d’assistance a bien été dressé pour aider une personne handicapée.
Non. Vous n’êtes pas tenu d’aviser l’hôte, mais nous le recommandons. Cela favorise une bonne communication avec lui ou elle.
Sinistar prend très au sérieux les plaintes en discrimination.
Si un hôte refuse l’accès à votre animal d’assistance dans le logement sans raison valable, **avisez votre agent Sinistar.**Expliquez-lui la situation en donnant le plus de détails possible. Il enquêtera sur ce qui s’est passé et, au besoin, il vous trouvera un autre logement.
Si un animal cause des dommages qui dépassent l’usure normale, l’hôte peut réclamer un dédommagement au sinistré. Sinistar agit alors comme intermédiaire entre l’hôte et le sinistré, et fait les démarches pour récolter les sommes dues.